Les folies d'Elodie

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il y a 7 ans

Je m'appelle Elodie, j'ai une petite trentaine, et je veux vous faire partager quelques-unes unes de mes expériences...L'histoire qui suit m'est arrivée il y a quelques années maintenant. J'avais 23 ans, et j'habitais à cette époque à Dijon, où mon compagnon de l'époque travaillait. J'étais quant à moi étudiante à la fac. Nous vivions dans un beau deux-pièces, situé dans une résidence neuve en périphérie de la ville.

L'entreprise dans lequel mon ami était employé, à la suite d'un rachat ou d'une fusion, je ne me souviens plus trop, a dû licencier, et il a fait partie de la charrette. Travaillant depuis peu de temps, les allocations chômage ont rapidement décliné, et il ne retrouvait toujours pas de travail. Les fonds du ménage ont commencé à diminuer dangereusement. Ce qui nous coûtait le plus cher, évidemment, c'était le loyer de notre appartement. On a commencé par prendre du retard dans les mensualités, puis par ne plus pouvoir payer du tout.

La propriétaire était une belle femme d'une cinquantaine d'années, grande, blonde, très hautaine lorsque nous passions lui déposer l'argent du loyer chaque mois. Au bout de la première quinzaine de retard dans le paiement, elle a commencé par nous téléphoner, nous menaçant d'entamer une procédure d'expulsion si nous ne reprenions pas les paiements. Après quelques manœuvres dilatoires, je finis par lui avouer que notre situation financière ne nous permettait plus de la payer en ce moment, la suppliant de nous concéder quelques délais de paiement.

Je m'attendais à un refus pur et simple, assorti d'une visite d'huissier. A ma grande surprise, la propriétaire sembla comprendre ma démarche, et me convoqua chez elle le lendemain soir pour discuter de tout cela. Je lui dis que je viendrais seule, mon ami devant rentrer tard d'un entretien d'embauche qui devait s'avérer infructueux comme tous les précédents. Elle me répondit d'une voix sèche qu'elle me convoquait moi toute seule, et qu'elle ne voulait pas voir mon compagnon.

J'arrivais à la porte de son superbe hôtel particulier, situé dans les beaux quartiers de la ville. Une très jeune femme rousse vêtue d'une robe noire et d'un tablier blanc m'ouvrit la porte et me fis entrer dans un petit salon. Elle m'invita à attendre sa maîtresse quelques instants. Au bout d'une bonne demi-heure, la propriétaire fit son entrée :

  • Bonsoir Mademoiselle. Alors il semble que vous ayez quelques ennuis de trésorerie en ce moment, et vous aimeriez que je vous consente des délais de paiement, dit elle sèchement ;

  • Oui, comme je vous l'ai dit hier au téléphone, mon compagnon...

  • Oui, ne répétez pas votre histoire, petite sotte, me coupa-t-elle brusquement. J'ai compris. Sachez que je ne donne jamais de délais de paiement, c'est une affaire de principe !

Tous les espoirs que je caressais depuis hier s'évanouirent brusquement, et le spectre de l'huissier me hanta à nouveau.

  • Mais Madame, au téléphone, hier, j'avais compris que vous accepteriez de...

  • Vous n'avez rien compris, ma petite ! Je n'ai jamais dit que je vous donnerai des délais supplémentaires, parfaitement inutiles au demeurant puisqu'à leur expiration, vous ne serez pas davantage capable de ma payer que maintenant. Mais je vous propose un marché.

  • Quoi donc ? répondis je en reprenant espoir.

  • Je vous propose de racheter votre dette, à votre rythme, en fonction de vos possibilités.

  • Mais avec quoi Madame ? Nous n'avons vraiment plus un sou, je vous jure !

  • Qui parle d'argent ? Je vous propose un autre mode de paiement. Une sorte de paiement en nature, dit elle en souriant légèrement.

  • Un paiement en nature ? Vous voulez dire une sorte de travail qu'on devrait faire pour vous ?

  • Pas On, Vous seule, au moins pour l'instant. Et ce n'est pas vraiment du travail. Disons plutôt du ...spectacle...

  • Du spectacle ? Je ne vous suis pas trop, Madame. Quel genre ? Je n'y connais rien, en plus.

  • C'est çà ou l'expulsion, à vous de choisir, trancha t elle brusquement.

  • Je n'ai pas le choix, lui répondis-je. Mais je préférerais comprendre ce dont il s'agit.

  • Vous allez comprendre, me dit-elle. Suivez-moi !

Elle me fit passer dans un autre salon, plus grand, doté de nombreux miroirs. Je remarquai des estampes japonaises plutôt osées sur les murs. Elle s'assit sur un sofa en me demandant de rester debout.

  • Je vous propose de rembourser votre dette en payant de votre personne, si je puis dire, reprit-elle en me regardant en souriant. Vous me devez pour le mois dernier 2500 F, et pour ce mois ci la même chose, soit 5000 F à ce jour, n'est ce pas ?

  • Oui Madame, c'est ça.

  • Vous ne me laissez pas indifférente sur le plan physique, mon petit. Aussi vous proposé-je de me rembourser en me laissant user et profiter de vous, dans le respect de certaines limites, bien évidemment. Nous ne ferons que ce que vous accepterez, et nous nous entendrons avant sur le montant en jeu.

  • Euh, je suis perdue, dis je sans comprendre où elle voulait en venir. Concrètement, ce veut dire quoi ?

  • On va commencer par un exemple concret, en effet. Mettons que j'ai très envie, en ce moment, de vous voir en dessous. Et que je suis prête à payer pour çà 300 F. Soit vous acceptez que je vous voie en dessous, et je retire 300 F des 5000 F de votre dette, soit vous refusez et je me vois contrainte de vous expulser.

  • Me voir en dessous ! Mais c'est pas un peu bizarre, votre jeu ! Et puis j'ai pas trop le choix, si c'est çà ou l'expulsion...

  • En effet. Mais je suis ravie de constater que vous avez compris le jeu. Alors, vous jouez ou pas ?

  • Euh...Maintenant ? là devant vous ?

  • Absolument, répondit-elle.

Timidement, je commençais à dégrafer mon chemisier, dévoilant mon soutien gorge en dentelle blanche assez ajourée. Mes aréoles sombres se dessinaient à travers la soie légère, sous le regard de la propriétaire. Une fois le chemisier ôté, je dégrafais ma jupe, qui tomba à mes pieds en découvrant ma petite culotte assortie au soutif. Je sentais le regard sur le triangle sombre de ma toison pubienne, bien visible à travers le tissu.

Pendant les quelques minutes que durait ce déshabillage, la femme me fixait souvent dans les yeux, guettant mes réactions. De mon coté, je sentais ma gène augmenter, prenant conscience qu'elle ne s'arrêterait sans doute pas à ces 300 F. Je restais debout devant elle, n'ayant plus sur moi que mes dessous et mes mocassins à talons.

  • Euh, comme ça Madame ? Cela vous convient ? lui demandais-je. Je peux me rhabiller ?

  • Pas encore ! Disons que c'est un bon début... Tout à fait prometteur, en fait... tournez-vous ? Là c'est bien, oui... On ne va pas s'arrêter en si bon chemin... Allez, pour 700 F de plus, vous allez vous mettre toute nue, et me laisser vous regarder ! Cela vous fera une remise d'un cinquième de votre dette... Très vite !

  • Me mettre complètement nue ? Répondis-je en rougissant. Mais Madame, je n'ai pas l'habitude... C'est très gênant.

  • Je comprends parfaitement votre gène, et je vous paye aussi pour çà, dit elle en souriant largement. Mais c'est çà ou l'huissier, ma fille !

Son ton était sans réplique, et je n'avais d'autre choix que de m'exécuter. Les yeux baissés, je dégrafais mon soutien-gorge, dévoilant lentement mes seins à ses regards. Puis, après une seconde d'hésitation, je fis glisser ma culotte à terre, restant debout devant elle, vêtue juste de mes chaussures. Je résistais très fort à l'envie de cacher mes seins et mon sexe de mes mains, mais me f o r ç a is à garder les bras le long du corps. Son regard allait de mes yeux à mon corps, avec toujours son léger sourire accroché au coin des lèvres. Je n'osais pas bouger. Au bout d'un temps qui me parut extrêmement long, elle reprit la parole :

  • Je ne m'étais pas trompée : vous n'êtes pas mal du tout... J'aime beaucoup ce contraste entre la finesse de vos attaches, votre côté longiligne, et vos seins déjà lourds... Vous faites du combien ? Un bon 85b, non ? Et j'aime aussi beaucoup leur forme en poire, bien ronds... Prenez les dans vos mains, soulevez les légèrement, s'il vous plait !

J'obéis et pris mes seins dans mes mains en coupe, les soulevant un peu. " Euh, comme ça Madame ?

  • Oui très bien... Et votre carnation très claire contraste très joliment avec vos yeux bleus, très jolis chez une brune... Tournez vous, que je voies aussi le coté pile !

Je me retournais, sentant son regard sur mes fesses rebondies. " Très joli cul aussi, ma belle...Et j'adore aussi deviner le galbe de tes seins en regardant ton dos... Tu sais, comme dans ces pubs pour la lingerie Aubade... "

Je notais qu'elle venait de me tutoyer, ce qui m'inquiéta davantage. Mais je n'osais rien dire, attentive à lui obéir pour justifier mes remises de dette. Les nombreux miroirs me renvoyaient mon image sous différents angles. Elle m'ordonna ensuite de me remettre de face : " Voyons maintenant ta chatte... Tu t'épiles le maillot, apparemment... C'est bien, je n'aime pas les buissons trop denses... Mets tes mains sur ta tête et écarte tes jambes, que je te voie mieux ! ". J'obéis malgré ma gène d'être ainsi examinée. " Bien, très mignonne ta petite chatte... Ecarte plus tes cuisses, je veux voir ta fente s'ouvrir davantage ! Oui, comme ça... c'est bien ! ".

Mains sur la tête, bien cambrée, je lui obéissais malgré ma honte, et offrait ma chatte à ses regards avides. A ce moment, la jeune soubrette qui m'avait ouvert la porte entra, et me découvrir dans cette posture... Ma gène augmenta encore, car elle était visiblement plus jeune que moi, sans doute pas plus de dix-huit ans. Cela sembla amuser ma propriétaire, qui l'invita à rester avec elle pour profiter du spectacle :

  • Assied toi, Annette. Tu ne trouves pas qu'elle est appétissante, notre jeune amie ? lui dit elle. Elle a de beaux seins, pas comme toi qui est plate comme une limande.

  • Oui madame, ses seins sont bien plus gros que les miens en effet.

  • J'ai envie d'en savoir davantage sur toi, me dit elle. Tu vis avec un homme, ai je cru comprendre...

  • Oui Madame, répondis je.

  • Vous faites l'amour souvent ?

  • Euh, oui Madame, enfin normalement, une fois par semaine en moyenne.

  • Et tu le trompes ? occasionnellement ? souvent ?

  • Oh non Madame, jamais !

  • Et entre vos séances de baise du samedi soir, reprit elle méprisante, tu fais comment ? Tu te masturbes j'imagine ?

J'hésitais avant de répondre, encore plus gênée de la présence de la soubrette pendant cet interrogatoire. Celle ci me détaillait, l'air très absorbée.

  • Euh, oui Madame, je me caresse parfois, répondis je, les yeux baissés.

  • Combien de fois par semaine ? reprit elle, impitoyable.

  • Çà dépend... plusieurs fois par semaine, parfois plusieurs fois par jour, avouais je enfin.

  • Tiens donc, intéressant, dit elle songeuse... Tu aimes ça, donc, ma belle...

Elle se leva et s'approcha de moi. Passant derrière moi, elle me fit me cambrer davantage, mes bras levés mettant ma poitrine en valeur. Elle commença délicatement à effleurer du bout des doigts mes pointes de seins, déclenchant chez moi des frémissements malgré mes efforts pour demeurer impassible. " Tes tétons me semblent apprécier les caresses, murmura t elle en souriant. J'aime leur longueur... Je veux les voir tous durs... Ils seraient parfaits pour des pinces, je pense ". Insistant davantage, elle continua jusqu'à ce qu'ils soient bien dressés, me faisant gémir à plusieurs reprises.

Annette lui apporta deux pinces chromées reliées entre elles par une chaînette, qu'elle me montra longuement en souriant. " Je te propose 200 F par pince, qu'en dis tu ? me demanda t elle.

  • Je... je ne sais pas trop, Madame, je n'ai jamais essayé, répondis je

  • Allons, ne me raconte pas d'histoires, dit elle plus durement. Une fille comme toi, qui se tripote aussi souvent, et dont les seins sont visiblement si sensibles... Tu as sûrement essayé de te mettre ne fut-ce que des pinces à linge, pour essayer... Avoue !

  • Je... oui peut être une ou deux fois, finis je par avouer en baissant les yeux... Mais çà fait longtemps...

  • Alors, d'accord pour réessayer ? Je suis sure que tu vas aimer... Et puis cela te réduit ta dette !

Je finis par accepter. Elle approcha la mâchoire d'acier de la pince de mon téton gauche, en me regardant dans les yeux. Puis elle laissa la pince se refermer sur ma chair, ce qui généra instantanément dans mon esprit une explosion de douleur. Elle me fixait, ses yeux dans les miens, comme si elle voulait absorber ces ondes palpitantes de douleur qui irradiaient de mon sein, pour s'étendre à tout mon corps. Au bout de quelques minutes qui me parurent une éternité, l'intensité de la douleur se calma enfin.

  • Alors, cela te rappelle des sensations ? me demanda t elle ?

  • Oh Madame, je ne me souvenais pas que cela faisait aussi mal, répondis je.

  • Mais tu apprendras que la douleur peut aussi être une source de plaisir décuplée, répliqua t elle sentencieusement.

Elle fit subir à mon sein droit le même traitement. Une fois la douleur calmée, je regardais les pinces qui ornaient désormais mes tétons, et la chaînette pendante qui barrait mon ventre. Les pinces étaient assez légères, mais Annette m'informa qu'on pouvait y fixer des poids si on le désirait. La douleur était maintenant moins forte, mais plus diffuse. Au moment où je commençais à récupérer un peu, la propriétaire tira brusquement sur la chaînette, réveillant ainsi la voracité des pinces ; je me retrouvais inondée de douleur, ne pouvant réprimer un cri.

  • Tout est toujours une question de dosage, dit elle en souriant. Un peu de douleur, mais pas trop... J'ai tiré sur la chaîne juste pour te donner une idée de ce que çà serait avec les poids ; mais rassure toi, nous n'allons pas en mettre aujourd'hui.

  • Oh merci Madame, répondis je docilement. Ca fait vraiment trop mal.

  • En revanche, je te verrai bien avec un collier de chien...

Annette s'approcha et me passa autour du cou un large collier de cuir noir, décoré de clous en acier, et pourvu d'une attache destinée à la laisse. Puis elle me fit me mettre à quatre pattes à ses pieds, et attacha une laisse au collier.

  • Regarde-toi dans les miroirs, me dit la propriétaire... Tu ne te trouves pas charmante, comme çà ?

Je regardais et y découvris mon image, nue, à quatre pattes aux pieds de la soubrette, mes seins pendant sous mon torse, les pointes entravées par les pinces, la chaînette traînant par terre. Curieusement, cette vision humiliante contribua à augmenter une excitation déjà latente du fait des pinces qui me labouraient les tétons... Je sentis mon sexe s'humidifier, et je pris peur à l'idée que les deux femmes ne s'aperçoivent de mon trouble.

Annette, tirant sur la laisse, me fis marcher à quatre pattes devant sa maîtresse qui appréciait visiblement le spectacle. De temps à autre, la chaînette traînant sur le sol se prenait dans une boucle du tapis, tirant alors sur les pinces, irradiant de douleur à nouveau mes seins. Au bout de quelques minutes de ce manège, la propriétaire me fis me cambrer davantage, et écarter les cuisses en lui présentant ma croupe tendue.

  • Hmm, je te trouve très sexy, comme ça ma petite chienne, me dit elle doucement. Je vois tes fesses, ta raie bien dessinée marquée par ton petit trou bien plissé... Juste dessous, ta fente bien nette, enserrée par tes cuisses... Et devant, tes seins lourds ballottant au rythme de ta marche... Magnifique tableau, vraiment ! Elle te plait, Annette ?

  • Oui Madame, beaucoup... J'aimerai tant que vous me laissiez m'occuper d'elle... Elle me fait très envie !

  • Hmm... Oui pourquoi pas, répondit sa maîtresse, songeuse. Installe-toi dans ce fauteuil, Élodie, m'ordonna t elle.

Elle me désigna un large fauteuil où m'asseoir, ce que je fis avec plaisir. Mais elle m'ordonna de passer mes jambes de chaque coté des accoudoirs, ce qui me f o r ç a à ouvrir largement ma chatte à leurs regards.

  • Tiens donc, on dirait que ce traitement te réussit, ricana la propriétaire en découvrant l'humidité de mon entrecuisse... Alors tu aime ça, être traitée comme la petite chienne que tu es ?

  • Oh Madame... J'ai honte, bafouillais je en réponse... Je ne sais pas ce qui me prend...

  • Bien, je vais t'aider... reprit elle. Pour la phase suivante, je te propose, disons 600 F... ce qui fera au total 2000 F de moins sur ta facture. C'est d'accord ?

Je ne me sentais pas en position de contester son autorité, aussi acquiesçais je en hochant la tête. Elle fis signe à la soubrette, qui m'attacha les poignets dans le dos à l'aide d'une cordelette, avant de lier mes cuisses ouvertes à chaque accoudoir, me maintenant dans cette posture quasiment gynécologique.

  • C'est un jeu : Annette va maintenant commencer à te masturber. Tu verras, elle fait cela vraiment très bien. Mais elle s'arrêtera avant de te faire jouir, pour ensuite recommencer, et ainsi de suite... Je suis sure que tu vas adorer...

  • Euh Madame... Je dois aussi garder les pinces ?

  • Mais oui bien sûr... Tu dois commencer à t'y faire maintenant... Et puis je trouve qu'elles te vont très bien...

Tu sais qu'on peut aussi les fixer sur les lèvres ou le clitoris, me répondit elle en riant.

  • Oh non par pitié, lui dis je, vraiment effrayée

  • Alors sois sage et laisse toi faire !

Annette s'accroupit entre mes cuisses ouvertes, et commença effectivement à me caresser, alternant ses doigts et sa langue. Elle jouait avec mes grandes lèvres, titillant ensuite mon clitoris, enfonçant lentement ses doigts à l'intérieur de mon vagin, revenant ensuite à mon bouton...

Obéissant à une suggestion de sa patronne, elle me fit basculer encore plus le bassin pour ouvrir plus largement mes fesses, et commença à me titiller, puis à me lécher le petit trou. Sentant sa langue pénétrer mon anus, pendant que ses doigts s'activaient sur mon sexe m'arracha des gémissements de plaisir.

Elle était vraiment experte, et je ne tardais pas à sentir le plaisir monter dans mes reins, malgré le caractère humiliant de ma situation. Les miroirs me renvoyaient mon image, pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant ma chatte ouverte et mon anus à tous les regards.

  • Met lui le plug, Annette, dit sa maîtresse.

Annette saisit un gros plug anal, assez épais et court, et me le montra en souriant, avant de m'obliger à le lécher. Elle s'amusa quelques instants à le faire aller et venir dans ma bouche, tout en me disant de l'imaginer en place entre mes fesses.

  • Non, il est trop gros, je vous en prie, çà va me faire mal, tentais je d'argumenter dès qu'Annette l'eut sorti de ma bouche

  • Mais non, tu vas voir comme il va rentrer facilement, répondit Annette.

Elle en posa doucement l'extrémité sur mon anus trempé de mes propres secrétions. Elle appuya lentement, mais fortement, le plug sur ma rosette, que je sentis s'ouvrir d'un coup pour avaler le gode. Annette m'avait bien dilatée de ses doigts, et je ne ressentis presque pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration. Le plug se mit en place tout seul, maintenant cette impression de profonde pénétration de façon permanente.

C'était bizarre... J'avais déjà connu quelques expériences anales, que je n'avais jamais trouvées enthousiasmantes. Le monsieur avait souvent du mal à rentrer, ce qui me faisait aussi très mal. Il allait et venait brutalement en moi, avant de se retirer souvent aussi brusquement, ce qui faisait aussi mal que l'introduction. Là, avec le plug, rien de tel, ni douleur d'entrée, ni sortie, juste une sensation persistante et stable d'être pénétrée, prise, au plus profond de moi.

Rapidement Annette recommença à me masturber, se concentrant désormais uniquement sur mon sexe offert. Je ne crois pas avoir jamais été caressée comme ça. Mes sensations anales s'ajoutaient en les décuplant à celle qu'Annette déclenchait en manipulant mon sexe. Elle suçait mon clitoris, tout en me pénétrant de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait m'amener au bord de la jouissance, haletante, pour s'arrêter juste avant que j'atteigne l'orgasme, m'abandonner chaque fois plus frustrée pour recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait plaire au plus haut point à sa maîtresse. A chaque fois, mon plaisir montait plus vite, mais les caresses d'Annette s'arrêtaient aussi chaque fois plus tôt, et mes gémissements de plaisir se transformaient en cris de frustration.

  • Alors, tu aime ce petit jeu, ma chère Élodie ? me demanda ma propriétaire après de longues minutes passées à nous observer.

  • Je... je n'en peux plus Madame, lui répondis je haletante... Je vous en prie laissez moi jouir enfin... j'ai trop envie !

  • Hmm... J'aime te voir ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée par ton désir. Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets attachés dans le dos ne te seraient pas d'une grande utilité. Je vais dire à Annette de te détacher les jambes, ce qui te permettra de bouger, mais tu garderas les poignets dans le dos. Tu devras te finir devant nous comme ça, comme tu pourras !

Annette obéit et je me redressais immédiatement, cherchant comment éteindre le feu qui brûlait tout mon bas-ventre. J'avisais une table basse dont les pieds étaient constitués de sortes de colonnes en bois ouvragé. Toute honte bue, je m'accroupis sur un des coins de la table, écartant largement mes cuisses de façon à pouvoir me frotter la chatte contre cette colonne de bois. Le contact du bois sculpté de nombreux motifs floraux sur mon clitoris gonflé m'arracha des gémissements de plaisir, et je commençais des va et viens, tout en luttant pour ne pas perdre l'équilibre. Mes mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais je parvenais tout de même à me frotter sur la colonne trempée de mon suc, en maintenant un bon rythme qui me ramena rapidement au bord de l'orgasme.

Les miroirs me renvoyaient l'image d'une femelle entravée, se frottant frénétiquement le sexe sur un morceau de bois. Je sentais les regards des deux femmes sur moi, me ravalant au rang de chienne en rut prête à tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte me permis d'atteindre un orgasme exceptionnel, j'ai eu littéralement l'impression d'une explosion au moment ou je jouis, et je m'entendis hurler comme je ne l'avais jamais fait auparavant. Je m'écroulais ensuite sur le sol, trempée, épuisée mais enfin comblée.

  • Eh bien, on dirait que c'était une question de vie ou de m o r t , reprit la propriétaire après quelques minutes...Pour un orgasme, c'en était un... C'était la première fois que tu faisais çà comme ça, attachée et en public ?

  • Euh... oui Madame, répondis en reprenant mon souffle avec peine, étendue sur le dos, les cuisses ouvertes, trempées.

  • Cela me semble ouvrir de nouveaux horizons, tu ne trouves pas ? C'est mieux que tes séances de baise du samedi soir, non ?

Annette me détacha les poignets, ôta les pinces ce qui me fit hurler, et me donna un peignoir dans lequel je m'enveloppais. La tension retombant, un sentiment de honte me submergea, consciente de m'être donnée en spectacle au-delà de toute mesure.

  • Tu peux te rhabiller, reprit la propriétaire en souriant. Je crois que c'est assez pour une première prise de contact. Tu ne me dois plus que 3000 F ce mois ci. Je te téléphonerai pour la prochaine fois. Nous passerons à des choses plus sérieuses... rajouta t elle en souriant de façon énigmatique.

Elle sortit du salon, où Annette m'aida à me rhabiller, avant de me conduire vers la sortie ; j'étais trop sonnée pour parler, et Annette ne me dit pas un mot. Mais je devais les revoir plus tôt que je ne l'imaginais...

Je me sentais bizarre après cette séance chez ma propriétaire. Je n'avais jamais été contrainte comme cela auparavant, et, si le début avait été difficile, je me surprenais à y avoir pris du plaisir. Repensant aux moments que je venais de passer, je me souvenais ma gène du début, mais je prenais conscience de ce que mon excitation provenais précisément de cette gène.

J'avais été gênée de devoir me déshabiller devant ces deux femmes : j'avais bien sûr eu des occasions de me mettre nue devant d'autres filles, dans des vestiaires sportifs par exemple, sans que cela ne me perturbe plus que cela. Mais dans la situation que je m'eff o r ç a is d'analyser, le fait d'être la seule à être nue changeait considérablement les données du problème. Cette situation, en elle même, m'avait déjà troublée, et ce trouble même avait commencé à faire monter en moi une excitation que je ne m'attendais absolument pas à rencontrer. J'avais en effet jusqu'à présent eu le sentiment d'être plutôt pudique, évitant soigneusement tout exhibitionnisme.

Dans la suite de la séance, mon excitation croissante m'avait permis de satisfaire toutes les demandes de la propriétaire, chaque situation de gène accrue générant un surcroît d'excitation, elle même me permettant d'aller plus loin. Je n'aurais jamais cru être capable de me masturber en public comme je l'avais fait...et je n'avais pas le souvenir d'avoir jamais atteint un orgasme tel que celui que j'avais eu quelques minutes auparavant !

Le fait que la séance se soit passée entre filles avait peut être aussi facilité les choses, bien que je me considéra jusqu'ici comme exclusivement hétérosexuelle. J'étais parfaitement consciente du surcroît d'excitation qu'avait représenté pour moi la présence voyeuse d'Annette, la petite bonne. Son look très juvénile m'avait profondément troublée. Mais je me disais que je ne me serais peut être pas autant lâchée si l'assistance avait aussi compté des hommes. Peut être parce que, précisément en raison de mon hétérosexualité, j'était davantage soucieuse de mon image auprès des hommes que vis-à-vis des femmes.

Je songeais à tout cela en rentrant chez moi ce soir là. Je trouvais Philippe, mon compagnon, passablement inquiet, mais aussi tout heureux d'avoir enfin trouvé du travail. Je lui expliquais, sans presque avoir à mentir, que je sortais de chez la propriétaire, auprès de qui j'avais plaidé notre cause afin d'obtenir des délais de paiement.

  • Maintenant, tu n'auras plus à aller voir cette vielle peau, puisque nous allons pouvoir payer le loyer rubis sur l'ongle, claironna-t-il. Je suis sûr qu'elle a dû prendre un malin plaisir à te laisser mariner dans cette situation humiliante de devoir quémander, reprit-il.

  • Oh, disons que cela ne s'est pas trop mal passé, répondis-je en me sentant rougir en repensant à la séance.

  • Tu pourras retourner lui porter son chèque dès demain, j'ai obtenu une avance sur salaire, me dit-il en souriant.

Nous bûmes le champagne qu'il avait apporté pour célébrer son embauche, avant de continuer la fête au lit, où je me retrouvais très excitée, me remémorant la séance chez la logeuse pendant qu'il me faisait l'amour. Je jouis presque aussi fort, ce que Philippe dû mettre sur le compte de ma joie de voir la fin de nos ennuis financiers. Je m'endormis épuisée.


J'hésitais longuement avant de rappeler la propriétaire...Pendant plusieurs jours, Philippe me relançait chaque soir en rentrant, s'étonnant de mon manque d'enthousiasme. Je retardais le moment de cette reprise de contact, ne sachant pas trop où j'en étais, honteuse aussi à posteriori de ce qui s'était passé... Mais, de peur de finir par susciter chez mon ami des questions auxquelles je n'avais pas du tout l'intention de répondre, je me résolus à l'appeler au bout de quelques jours.

  • Bonjour Madame, je suis Elodie, vous vous souvenez de moi sans doute ?

  • Bien sûr que je me souviens de toi, petite garce me répondit elle immédiatement. Tu viens encore pour me demander de l'argent ? Tu sais que tout se paye avec moi.

  • Non Madame, au contraire, je peux maintenant vous régler tout ce que je vous dois.

  • Hmm...voilà une bonne nouvelle ! Peux tu passer demain après midi ? Chez moi ?

  • Oui demain cela irait. J'ai un cours jusqu'à 16h, mais je suis libre après.

  • Parfait, disons donc 16h30. Elle fit une pause, puis reprit : " A titre d'indemnités de retard, je veux que tu te présentes chez moi avec le même imperméable que la dernière fois, mais sans rien dessous ! Juste tes chaussures à talons !

Je frémis au téléphone en l'entendant formuler cette exigence d'une voix ferme. Mon esprit m'imposait de refuser immédiatement ; il aurait toujours été possible d'envoyer le chèque plutôt que de le déposer physiquement. Mais au lieu de ça, je m'entendis répondre " Bien Madame, j'ai compris, juste les chaussures... ", avant de raccrocher.

Jusqu'au lendemain après midi, je m'eff o r ç a is de ne pas penser à ce rendez vous. Sortant enfin de mes cours, je pris la voiture pour me rendre chez la propriétaire. Je me garai dans une petite rue peu fréquentée, à quelques dizaines de mètres, et commençais à me déshabiller sous mon imper fermé. Exercice très difficile dans une voiture, au demeurant, d'autant que la peur d'être surprise me faisait sursauter au moindre bruit. Cela me pris une bonne dizaine de minutes, mais je finis par sortir de la voiture, nue sous mon imper, ne portant que mes escarpins à talons. Je me dépêchais de grimper les marches du perron -pas seulement à cause de la relative fraîcheur de l'air- et sonnais à la porte. Annette vint ouvrir, comme la fois précédente. Elle me sourit et me fit entrer dans le même petit salon, ou je n'osais m'asseoir.

Assez rapidement, la propriétaire entra :

  • Bonjour Elodie. As tu suivi mes instructions ?

  • Oui Madame

  • Montre-moi ! Ouvre ton imper !

J'obéis et ouvris mon imper, dévoilant mon corps nu à ses regards. Elle sembla satisfaite.

  • Bien, dit elle. Referme ton imper, nous allons nous promener...

  • Nous promener ? Euh, dans cette tenue ?

  • Mais oui, elle est très bien, ta tenue. Où est le problème ?

  • Mais Madame...et ou allons nous ?

  • Tu verras bien, répondit elle d'un ton ne souffrant pas la réplique.

Elle enfila un manteau et me poussa vers la porte. Dehors, nous nous dirigeâmes vers le centre ville, tout proche. Elle me fit rentrer dans une grande brasserie, où elle acheta des cigarettes. Puis nous nous attablâmes dans le fond. A cette heure, de nombreuses tables étaient occupées par des lycéens sortant de cours. Je gardais les yeux baissés, très mal à l'aise. D'abord, j'avais froid. Ensuite, je ne comprenais pas ce que la propriétaire voulait au juste, et ma situation me semblait très gênante. J'avais l'impression que tout le monde savait que je ne portais rien sous mon imper.

A la table voisine se tenaient deux jeunes gens, sans doute en terminale, qui semblaient très absorbés par un problème de maths.

  • Tu vois ces deux garçons, me chuchota la propriétaire. Je veux que tu attires leur attention. Débrouille toi comme tu veux. Tiens, ouvre un peu ton imper, par exemple.

  • Mais... mais pourquoi ça, bredouillais-je ?

  • Parce que je te le demande, ma belle, répondit-elle sèchement.

Rougissante, j'élargis le décolleté de mon imper, dévoilant plus largement le haut de ma poitrine, jusqu'à la naissance de mes seins. Tournant la tête, l'un des garçons me regarda, détourna rapidement les yeux, comme gêné, avant de commencer à chuchoter à l'oreille de son camarade, qui me regarda à son tour. Je ne pus m'empêcher de baisser les yeux.

La propriétaire se glissa à leur table, et commence à leur parler à voix basse. Je ne pouvais pas entendre ce qu'ils disaient, mais je sentais leurs regards vers moi. Au bout de quelques minutes, la propriétaire revint et me demanda de la suivre.

Nous descendîmes l'escalier menant aux toilettes. Elle ouvrit la porte des toilettes pour handicapés, et me fit rentrer dans la large cabine. Elle referma la porte, s'assis sur le siège des WC et m'ordonna d'oter mon imper. Après une hésitation, j'obéis et retirai mon imper, restant nue devant elle. Elle me détailla en souriant, semblant attendre quelque chose.

Quelques minutes plus tard, on frappa timidement à la porte, ce qui me glaça. La porte, qui n'était pas verrouillée, s'ouvrit lentement, et je vis la tête de l'un des garçons de la table voisine s'encadrer dans l'entrebâillement, interrogeant du regard la propriétaire. D'un geste, celle-ci les invita à pénétrer dans la cabine. J'étais pétrifiée, n'osant bouger. Je voyais les deux garçons entrer, et verrouiller la porte derrière eux. Nous tenions juste dans l'espace restreint de la petite pièce.

Les garçons semblaient assez gênés d'être là, n'osant trop me regarder.

  • Allons, dit la propriétaire à voix basse, ne soyez pas timides...vous savez ce que je vous ai promis ?

  • Oui Madame, répondit le garçon brun. Mais c'est que...c'est pas courant, votre histoire.

  • Je sais...C'est pour ça qu'il faut en profiter ! Allez, regardez là bien, vous ne la trouvez pas superbe ?

Je les sentis s'enhardir, posant leurs regards sur mon corps nu, sur mes seins lourds, sur mon ventre...Je voyais une bosse de plus en plus proéminente se former sous leur braguette, témoignant de façon éloquente de l'effet que je leur faisais.

  • Tourne toi ma chérie, m'ordonna la propriétaire... Montre leur tes jolies fesses !

J'obéis et leur présentais mes fesses. Le garçon brun s'enhardit et posa ses mains sur mes fesses nues, me faisant frissonner. Il me les malaxa très maladroitement, ses mains laissant des marques rouges sur ma peau claire.

  • Doucement, se fit-il rappeler à l'ordre par la propriétaire. N'oubliez pas que c'est moi qui dirige ! Maintenant Elodie remets toi de face, et montre bien ta chatte a nos amis... Je ne pense pas qu'ils en aient vu beaucoup, et je suis certaine que cela va les intéresser ! Quant à vous, les garçons, on regarde mais on ne touche pas !

Docilement, je me retournais et écartais lentement mes cuisses. Je sentais les deux paires d'yeux braqués sur ma chatte, dont les grandes lèvres s'ouvraient doucement sur une moiteur intime, dévoilant mes petites lèvres ourlées, surmontées par le capuchon de mon clitoris.

  • Vous ne pouvez pas la toucher elle, mais vous pouvez vous toucher vous, reprit la propriétaire en direction des deux garçons dont la braguette était proche de l'explosion. Allez, sortez donc vos queues, vous serez plus à l'aise !

Les deux garçons obéirent et ouvrir leurs braguettes. Leurs sexes tendaient leurs sous-vêtements, qu'ils firent glisser, découvrant deux belles bites, l'une courte et large, l'autre longue et fine. Je ne pus m'empêcher de noter ces différences.

  • Quant à toi Elodie, me dit la propriétaire, ouvre toi mieux, cambre toi, montre leur bien toute ton intimité, tu sais... comme sur le fauteuil l'autre jour...

Je me cambrais en pliant un peu les jambes, ouvrant très largement mes cuisses, découvrant tout, de mon pubis à mon anus. Je glissais deux doigts le long de mon ventre, ouvrant encore davantage mes petites lèvres, et dégageant mon clitoris. Chacun des deux garçons avait commencé à se branler, tout en fixant mon sexe avec une intensité fébrile. Je voyais leur main faire des va et viens le long de leur sexe gonflé. Ce spectacle m'excitait assez, humidifiant davantage le sexe ouvert que j'offrais à leurs regards avides. Le brun se caressait avec des mouvements brusques, décalottant brusquement son gland épais en grognant à chaque fois, comme s'il se faisait mal. Le blond, qui était circoncis, au contraire bougeait à peine sa main, se contentant de glisser son doigt sous son gland fin. Je ne pus résister au désir de me titiller le clitoris en les regardant faire.

En quelques minutes, leurs gémissements devinrent plus rapides, annonçant l'imminence de leur jouissance. La propriétaire m'intima alors l'ordre de me baisser un peu plus, et de leur présenter mes seins nus, sur lesquels ils devraient éjaculer. J'obéis, présentant mes seins dans mes mains en coupe, tout près de leurs bites cramoisies. Le blond jouis le premier, et je vis un filet de liqueur séminale couler de son méat, avant de voir immédiatement après plusieurs giclées de sperme jaillir pour asperger mes seins et mon épaule gauche. Le brun ne résista pas plus de quelques secondes. Dans un dernier ahanement, il cria en couvrant mes tétons et mon ventre d'un sperme épais et chaud.

  • C'est bien, messieurs, leur dit la propriétaire en souriant. J'espère que ça vous a plu...Quant à moi je vous ai trouvé parfaits. Vous pouvez vous rhabiller maintenant, et nous laisser.

Les deux garçons se rajustèrent rapidement, et sortirent en me remerciant gauchement. J'étais toujours excitée d'avoir vu ces deux garçons jouir sur moi. Je n'avais jusqu'à présent jamais expérimenté cela, voir deux sexes d'homme cracher leur semence en même temps, et ça m'avait bien plu. Mais la propriétaire se leva, et m'intima l'ordre de repasser mon imper et de sortir.

  • Euh, Madame, je peux me laver s'il vous plait ? lui demandais-je en désignant du regard les longues traînées de sperme qui barraient mon torse et mon ventre ?

  • Non, tu obéis et tu repasses ton imper immédiatement, me répondit-elle sèchement. Et tu arrêtes aussi de te branler, petite salope !

Docilement, j'enfilais mon imper, frissonnant en sentant le sperme commencer à couler sur mon corps nu. Nous sortîmes de la cabine, croisant une fille qui entrait dans les toilettes femme. Elle parut surprise de nous voir toutes les deux sortir des WC handicapés, et son regard s'attarda sur moi. Nous remontâmes les marches sans nous retourner, avant de sortir du café.

Nous retournâmes dans la demeure de la propriétaire, où Annette nous accueillit.

  • Bonsoir Annette, dit la propriétaire. Je crois que notre amie a besoin d'un bain. Je l'ai sortie en ville, et elle n'a pas pu s'empêcher de se livrer à ses plus bas instincts. Regarde là, elle est couverte de sperme, lui dit-elle en m'ôtant mon imperméable !

  • Oui, elle sent le mâle, dit Annette en s'approchant pour me renifler la poitrine.

  • En plus, reprit la propriétaire, elle n'est toujours pas rassasiée. Ecarte les cuisses, me lance t elle brutalement !

  • Oui en effet, répond Annette après avoir glissé son doigt dans ma fente. Elle est trempée, comme d'habitude. Allez, on va s'occuper de tout ça, Madame.

Annette me dirigea vers la salle entièrement tapissée de miroirs dans laquelle j'avais déjà été conduite la dernière fois. Je fus contrainte de m'agenouiller, et Annette me repassa au cou le même collier de chien, auquel elle fixa une laisse de cuir. Puis elle commença à se déshabiller devant nous, ôtant d'abord son tablier de soubrette, puis sa robe noire sous laquelle je découvris son corps nu. Elle était visiblement très jeune, pas beaucoup plus de 18 ans probablement, et son corps était étonnamment androgyne : hanches étroites, seins et fesses très peu marqués. Sa peau de rousse très pale contrastait avec une absence quasi totale de pilosité, son entrejambes était totalement épilé.

Annette prit dans un commode un gode ceinture en latex noir, et commença à s'en équiper. Elle s'approcha ensuite de moi, ainsi harnachée, et me donna ce gode à lécher. Je m'exécutais, toujours à genoux, excitée de la voir ainsi, sa peau blanche contrastant avec le noir du harnachement. Elle poussait le gode dans ma bouche comme si elle me faisait vraiment lui faire une fellation. De temps à autres, je me regardais dans les miroirs, excitée par cette image qu'ils me renvoyaient.

  • Allez, prend la comme une chienne, dit soudain la propriétaire à Annette. Elodie, met toi à quatre pattes, vite !

J'obéis, et Annette se posta derrière moi, approchant son gode de mes fesses. Très excitée par tout ce qui avait précédé, je me cambrais bien, en écartant les cuisses, pour faciliter l'introduction du gode. Annette posa l'extrémité de son engin contre ma fente humide, puis poussa d'un coup vigoureux. Le gode humidifié par ma salive me pénétra très facilement, m'arrachant un gémissement. Puis Annette commença des va et viens en moi, me baisant comme un homme devant la propriétaire visiblement enchantée.

Je n'avais jamais été ainsi prise par une autre femme, mais je sentis le plaisir monter en moi très vite. Annette me besognait vigoureusement, ses mains vissées sur mes hanches. De temps en temps, elle glissait ses doigts pour titiller mes tétons, ou bien pour me caresser le clitoris. Bien que j'aurais adoré faire durer ce moment très très très longtemps, je fus vite submergée par un orgasme puissant, qui me fit crier mon plaisir avant de m'écrouler, presque sans inèrte, sous Annette qui se retira doucement.


Annette me poussa ensuite vers une superbe salle de bain, toute en marbre, ornée de grands miroirs. Je me regardais dans ces glaces, pendant qu'elle faisait couler un bain chaud. Puis je me glissais avec volupté dans la grande baignoire d'angle, de la taille d'une piscine de jardin. Annette sortit de la pièce, après m'avoir recommandé en souriant de rester sage.

Une dizaine de minutes plus tard, la propriétaire entra dans la salle de bain, accompagnée d'Annette. Elle s'approcha de la baignoire et me détailla longuement, fixant plus particulièrement mon ventre.

  • J'ai décidé que tu serais plus désirable encore en étant lisse, ma chère Elodie, me dit elle. Annette va t'aider à te raser la touffe. J'espère que tu n'y vois pas d'inconvénient ?

  • Euh, ça me gène un peu, Madame, répondis-je. Je vais dire quoi à mon ami ?

  • Et bien tu n'as qu'à lui dire que tu as fais ça pour te rendre plus désirable encore à ses yeux, répliqua t elle.

D'ailleurs, c'est exactement la réalité. Et puis, tu verras, les hommes adorent ça.

Annette m'aida a sortir de la baignoire et à m'installer sur son immense rebord, les cuisses bien écartées. Elle recouvrit ma toison de mousse à raser, puis commença à me raser à l'aide d'un rasoir jetable. Le contact du rasoir, am o r t i par la mousse, caressait ma peau, suscitant des sensations très agréables, surtout sur les parties les plus proches de mes lèvres. De temps à autres, Annette s'amusait à passer un doigt, ou bien le manche du rasoir, sur mon clitoris, ce qui m'arrachait un gémissement. Lorsque le travail fut presque achevé, elle me fit relever très haut les cuisses, en les écartant largement, comme sur une table d'observation gynécologique, pour éliminer les quelques poils situés plus bas, vers mon anus.

Cette opération prit une dizaine de minutes environ, à l'issue desquelles je me replongeais dans le bain pour me rincer des traces de mousse. Puis je sortis de l'eau, découvrant dans les miroirs mon ventre complètement lisse, comme celui que j'avais étant petite fille.

  • Oui, c'est bien mieux comme ça, dit la propriétaire qui n'avait pas perdu une miette de l'opération. Je te trouve encore plus excitante comme çà. On voit beaucoup mieux tes lèvres, surtout lorsqu'elles sont bien gonflées comme c'est le cas maintenant. Tu sera parfaite pour nos prochaines séances...

  • Mais Madame, je venais pour vous régler ce que je vous devais, répondis-je dans un éclair de lucidité ... Il n'y aura plus de séances, donc.

  • Allons, avoue que cela te plait, sinon tu ne serais d'ailleurs pas revenue. Tu aurais très bien pu envoyer ton chèque par la Poste...

La chaleur que je ressentais dans mon ventre désormais lisse en l'entendant parler me démontrait qu'elle avait raison. Ces expériences me troublaient au delà de ce que j'aurai jamais pu imaginer, comme si elles faisaient résonner des cordes enfouies depuis longtemps au plus profond de moi.

Je savais que je reviendrai la voir.

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